Cannes, février 2011. "La photo est un passage. De manière évidente même si peu perceptible, s'y trouve suggéré l'écho du lointain revenant par furtifs et réguliers instants comme le clapot - sais tu - le fait sur la rive. Le battement du temps est là, embusqué dans un arbre, le geste d'un enfant, une rivière, ou le bras d'un homme posé sur celui d'une femme." Arlette Farge, "La chambre à deux lits et le cordonnier de Tel-Aviv."
vendredi 25 février 2011
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