"Dis moi quel est ton infini, je saurai le sens de ton univers,
est ce l'infini de la mer ou du ciel, est-ce l'infini de la terre profonde (...)?"
G.Bachelard
Garder en mémoire le jour qui passe, l'instant de vie. Retenir ce qui glisse, la trace invisible sous le regard, en creux. Les visages et les voix. Le souffle, l'envie, la joie. Capter la lumière, l'émotion. La couleur du silence. Respirer. S'accorder l'échappée belle. Faire allégeance ou refuser. Ecrire. Choisir. Donner forme au monde. Tant qu'on peut.
On pourrait ajouter à ces propositions de Bachelard, l'infini des "forêts profondes" chères à Barbara...
RépondreSupprimerCe cher vieux Gaston. Il faut que j'aille voir ce qu'il dit des nuages...
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