Ah comme nous voici transportés par ce titre évocateur aux temps des amours de Tristan et d'Yseut la blonde... ! Les deux amants ayant bu par mégarde le philtre d'amour qui ne leur était pas destiné, empruntent un chemin détourné et feront tout pour dissimuler leur passion sacrilège au roi Marc ... voici un gué bien aventureux et l'obligation pour "Iseut au cler visage" de recourir à un langage à double entente. Mais "Amour ne se peut celer" écrit Beroul... il semble que ce blanc chemin nous ait entraîné en plein roman courtois...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
votre mot à dire?