mardi 2 février 2010

Switch on

P.Klasen, Chemise + 3 interrupteurs, Laac de Dunkerque, Janvier 2010.
Fascinante électricité... Si l'on joue de l'interrupteur, on libère l'électricité et le courant passe pour faire jaillir la lumière ou bien la poitrine d'une femme dans une échancrure, comme une suggestion sensuelle et vibrante. L'univers de Peter Klasen associe l'ère moderne et les figures féminines, la production, la consommation et la séduction. Le corps des femmes est tentation et objet ou peut être est-il horizon possible, rédemption d'un univers trop brutal et condamné à la déréliction...?

3 commentaires:

  1. ce tableau me maisse bien perplexe. Pas sûr d'aimer ces images de femmes ramenées à quelque chose de métallique. Une prolongation de Fernad Léger aussi, par certains côtés.

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  2. Stupéfiant, tous les commentaires que l'on peut faire à partir d'une image aussi pauvre (pauvre n'est pas le bon mot, peut être consternante?)...pour ma part je n'y vois ni féminité, ni séduction, et s'il fallait un lien avec la consommation, il aurait fallu remplacer les boutons de la "chemise" par une fermeture éclair et les interrupteurs par des télécommandes...
    Enfin, chacun ses gouts....
    PS: au niveau des libellés, si art et expo conviennent, pensée me choque, j'aurai plutot mis provoq et déréliction.

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  3. Bonjour K!
    Joie grande de vous compter parmi mes lectrices.
    Beau lieu qu'est le vôtre, paisible, agréable. Textes forts.
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    Bonne journée!
    B.

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