... me font penser à la terre aurifère des falaises de Pen Bé, là-bas au bout de la terre, à l'autre bout de ma vie. Le climat plus rude et la terre de caux, calcaire, résiste mieux aux chocs...
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Garder en mémoire le jour qui passe, l'instant de vie. Retenir ce qui glisse, la trace invisible sous le regard, en creux. Les visages et les voix. Le souffle, l'envie, la joie. Capter la lumière, l'émotion. La couleur du silence. Respirer. S'accorder l'échappée belle. Faire allégeance ou refuser. Ecrire. Choisir. Donner forme au monde. Tant qu'on peut.
Les dessins de la terre, de la roche, sont toujours fascinants et étranges...
RépondreSupprimerElles sont belles toutes ces falaises de la craie blanche: Des Andelys à caumont, de la valleuse du curé à l'aiguille de belval jusqu'au cap gris nez! ça me rappelle les explorations souterraines dont la rivière d'étretat avec son entrée à marée basse par les pisseuses à la base des falaises et la sortie sur le terrain de golf d'étretat, une belle et lointaine aventure!
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