Etretat, Novembre 2009. Nocturne.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Garder en mémoire le jour qui passe, l'instant de vie. Retenir ce qui glisse, la trace invisible sous le regard, en creux. Les visages et les voix. Le souffle, l'envie, la joie. Capter la lumière, l'émotion. La couleur du silence. Respirer. S'accorder l'échappée belle. Faire allégeance ou refuser. Ecrire. Choisir. Donner forme au monde. Tant qu'on peut.
Bravo pour Etretat nocturne particulièrement. Et l'accès aux pisseuses en bas des falaises? (Muré?)
RépondreSupprimerJ'ai toujours pensé ça.
RépondreSupprimerOui, je crois que le paysage n'est pas un facteur négligeable pour qui nous sommes, bien sûr. Dans ses plis, il y aura tous les nôtres coulés dans les alvéoles du temps.
RépondreSupprimerBelle série et j'aime les lieux communs en partage.
RépondreSupprimer