dimanche 24 janvier 2010

A l'encre

Léonard Foujita, au café, musée de la Piscine, Roubaix.
Elle pourrait être attablée dans un café du Nord et vraisemblablement c'est à lui qu'elle écrit. Ce qu'elle n'a su lui dire. Et la plume lui tombe des mains. Encore. Il faudra boire du vin. Alors peut être. Mais pour l'heure le coeur lui manque. Si elle avait vécu parmi nous elle écouterait ceci.

2 commentaires:

  1. Et elle chanterait avec elle...
    et peut-être que les mots lui viendront...

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  2. Moi aussi je m'appelle lalie

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