lundi 3 mai 2010

cornélien



Si d'aventure vous vous trouvez dans ce type de situation, la lecture de "Un homme" de Philip Roth et ses développement horribles sur la déchéance et l'inéluctable perte de soi, vous aidera à goûter a posteriori le plaisir intense qu'il y a à être tout simplement vivant, à s'allonger dans le sable, les pieds nus, face à la mer, le visage brûlé de baisers de sel. "Homme libre, toujours tu chériras...".
Quitte à être assis parfois inconfortablement, le postérieur entre deux chaises, mais les orteils dans le sable doux...

2 commentaires:

  1. "Homme (libre) toujours tu chériras..."

    Finalement, chez moi, hier (2 mai), je n'ai pas dit pas autre chose.

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  2. Les chaises me semblent lui tourner le dos, à la mer...

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