Tate modern, Londres, mai 2010.
Et la petite fille courait et dansait dans l'espace immense comme pour mieux affirmer sa liberté et sa joie d'être au monde, insouciante et sonore sous ciment et metal...
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l'ombre qui saute
RépondreSupprimerPourquoi ne pas le faire à n'importe quel âge même si en vieillissant on est moins attendrissant?
RépondreSupprimerSalue la petite fille de la Tate pour moi.
RépondreSupprimerVeux-tu?