vendredi 9 juillet 2010

Pari Plage


Pour tous ceux que la plage nargue de son air lointain, comme un bonheur qui glisse entre les orteils, livré aux jeux du vent rieur. Dans le sillon d'une machine impassible, retenir un peu de sable séché dans la paume.

2 commentaires:

  1. Hier, dans la poche d'une veste, j'ai retourvé quelques grains de sable. Ils ont roulé sous mes doigts. Je suis entrée dans mes souvenirs.

    Je n'ai pas envie de laver la veste.

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  2. Belle évocation, je recevrai donc le vent du large en imagination ! une grande envie de mer, mais pas avec le flot des juilletistes, ni ceux des aoutiens. Mais il faudra bien que j'aille m'y ressourcer un de ces quatre !

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