La douleur et le doute
Je marche derrière vous
Un pas derrière le nez en l'air
J'aimerais caresser le tronc palper
L'écorce dure
Et puis cesser les pas
Juste toucher juste frémir juste m'appuyer un peu
Pour le repos et la prière
Il y a la lumière qui baigne mon visage et puis
Toutes ces pensées ramifiées qui poussent et déchirent l'instant
Comme une mémoire violente
Il faudrait enserrer l' arbre
Goûter la sève prendre la force
Retrouver le temps des sources
On entend des enfants qui jouent
Des rires bruissants
Il faut partir
Une belle symbiose photos-texte.
RépondreSupprimerJ'aime. Tout simplement...